Plus de robustesse

Plus de robustesse

Parmi les nombreuses qualités que l'on prête aux nouveaux écrans interactifs tactiles, il en est une à laquelle on pense rarement sur le moment, et qui pourtant est loin d'être anodine : il s'agit de son faible coût de maintenance. Et sur le long terme, cela peut faire toute la différence en matière d'économies, notamment en comparaison d'un dispositif de projection type vidéoprojecteur, réputé beaucoup plus onéreux de ce point de vue.

 

Vidéoprojecteurs : des matériels sensibles, à entretenir consciencieusement

La maintenance est plus longue et compliquée pour les vidéoprojecteurs

 

Certes moins cher à l'achat, on oublie cependant qu'à l'usage, un vidéoprojecteur voit son prix de revient systématiquement grimper, car certains de ses composants majeurs (lampe, ventilateur), ont une durée de vie limitée et doivent être régulièrement changés. Et plus l'appareil est utilisé de façon intensive, plus l'opération est à renouveler fréquemment, ce qui est souvent le cas en entreprise ou dans les établissements scolaires, des lieux par ailleurs "à risque" pour ce type de matériel, qui s'y retrouve généralement manipulé par un grand nombre de personnes, pas toujours respectueuses du protocole d'utilisation.

Malheureusement, si l'on souhaite éviter d'endommager prématurément son vidéoprojecteur, il y a des règles à suivre, lesquelles supposent notamment de ne pas le débrancher, ni le transporter tant que sa lampe est encore chaude et son ventilateur, destiné à la refroidir, toujours en marche. Sans ces quelques précautions, le bon fonctionnement de l'appareil a toutes les chances d'être compromis, avec la probable nécessité de changer rapidement la lampe, dans le meilleur des cas.

Or, cette lampe n'est pas bon marché. Autour de 100€, voire beaucoup plus selon les modèles, pour une durée de vie moyenne comprise entre 2000 et 3000 heures, pouvant aller jusqu'à 6000 heures en mode "Eco". A condition, encore une fois, de correctement l'entretenir, en évitant qu'elle ne chauffe trop, et pour ce faire, en chassant la poussière (nettoyage régulier), et en veillant à préserver le bon fonctionnement du filtre à air (à changer régulièrement, d'où des frais supplémentaires).

Au final, l'utilisation d'un vidéoprojecteur n'est pas de tout repos, car elle suppose une contrepartie : une surveillance rigoureuse et un entretien sérieux, coûteux en temps et en argent. Tout le contraire d'un écran interactif tactile.

 

Ecrans interactifs : pour une maintenance sereine 

La maintenance est courte et facile pour les écrans interactifs

 

Plus simple à manier, plus réactif, plus performant et plus engageant à regarder que tout autre tbi ou vpi, un écran interactif tactile, grâce à sa dalle LED innovante, assure en plus de longues heures d'utilisation, même intensives. 50000 heures en moyenne, soit de très nombreuses années, si l'on considère un usage quotidien de 8 heures. Le tout, sans aucun souci d'entretien plus ou moins contraignant.

En effet, l'appareil "tout-en-un", d'une robustesse à toute épreuve, ou presque, fonctionne comme un écran de télévision. Relié à un ordinateur, auquel il sert d'extension, il ne recourt à aucun dispositif de projection pour afficher ses visuels. C'est l'un des grands avantages du produit. Les branchements sont ainsi très limités, l'installation ultra rapide, les réglages inexistants. Et surtout, il n'y a plus de risque de surchauffe du matériel, ni besoin d'une surveillance technique assidue, d'un dépoussiérage minutieux, et encore moins d'un changement régulier des accessoires (lampe, filtre, ventilateur) contribuant au bon fonctionnement de l'ensemble, comme c'est le cas lorsqu'il y a un vidéoprojecteur.

En comparaison d'une solution avec vidéoprojecteur, un écran interactif renferme une technologie beaucoup moins sensible, qui conditionne sa résistance à l'usage. Ainsi, il suffit de l'installer sur un support fixe ou mobile, de le brancher, puis de l'allumer pour une utilisation immédiate. A la fin, on l'éteint (ou il le fait de lui-même quand il ne détecte plus personne), et on ne se soucie plus de rien.